Les fils à papa n’ont jamais eu très bonne presse en sport automobile. Voyez combien Lance Stroll ou Nicholas Latifi doivent ramer pour tenter de s’acheter (encore !) une crédibilité, après que leurs géniteurs respectifs aient largement contribué à leur accession en Formule 1, à coups de dizaines de millions de dollars canadiens. Et ce n’est d’ailleurs pas fini…