Une première en forme de feu d’artifice puisque son club d’Indiana était opposé à une montagne : Washington, champion en titre et emmené par la belge Meesseman (impériale avec quatorze unités et une emprise constante sur le jeu) qui a été sans pitié, s’imposant 101-76. « Nous savions que nous n’étions pas prêtes », confiait la Liégeoise. « Suite au test positif de plusieurs de nos joueuses, nous sommes arrivées quatre jours après les autres équipes, nous avons donc eu huit entraînements collectifs de moins. On a directement vu cette différence dans la dynamique de match où nous évoluions pour la première fois ensemble alors que Washington se trouvait plus facilement. Emma a fait un bon match en tenant son rang pour dominer le jeu. Après le match, elle est venue me féliciter pour mes débuts et cela m’a touché. »