Le film de Bernard Crutzen a fait un carton sur les réseaux sociaux. Au-delà de ce qu’il prétend démasquer, il reflète le mal-être d’une société confrontée à ses doutes et à ses limites par la crise sanitaire. « Interpellant » et « troublant » : ces mots reviennent souvent aussi sûrement que les reproches.
L’ex-champion du monde de football s’est reconverti dans le militantisme antiraciste. Une façon, pour lui, de boucler la boucle, et de rendre hommage à ses racines guadeloupéennes. Car, dit-il, « je n’ai pas oublié qui je suis ni d’où je viens ».
Un chiffre a changé la donne. Lors du Comité de concertation, les ministres ont reçu le nombre d’admissions sur la seule journée de jeudi : 204. Un chiffre qu’on n’avait plus vu depuis le 29 décembre.
Les experts du comportement jugent sévèrement qu’on ait douché les espoirs de la population. Mais estiment à l’unanimité qu’il faut davantage responsabiliser les gens, avec un coaching du meilleur acabit qui soit.
Le Comité de concertation a décidé de ne pas assouplir les mesures en vigueur vu la situation épidémiologique des derniers jours. Qu’en pensent les experts ?
La ministre de l’Intérieur a commenté la décision des différents gouvernements du pays de ne pas assouplir les mesures en vigueur, notamment la prolongation de l’interdiction des voyages non essentiels.
Après la parution d’un avis du Conseil supérieur de la Santé, la task force Vaccination recommande de limiter temporairement aux personnes âgées de 18 à 55 ans la vaccination à l’aide du produit développé par AstraZeneca.
Lors du Comité de concertation, les derniers chiffres ont été jugés trop mauvais pour pouvoir envisager de nouvelles mesures de déconfinement. Le report de décisions a fait beaucoup de déçus, voire fâchés.
Une fois convoqués, les citoyens auront la possibilité de voir quel vaccin leur sera administré. Mais pas question de choisir entre les trois vaccins. Le choix réside dans la possibilité de se faire vacciner ou pas.
Léonore Lebouteiller, titulaire d’un master en sciences économiques à l’ULB, est la première à mener une étude sur les effets du décret Paysage. Alors que la précarité étudiante est grandissante, les résultats démontrent que le décret a rallongé la durée des études. Les étudiants de milieux socio-économiques défavorisés sont les premiers concernés.
Les derniers chiffres relatifs aux hospitalisations ont été jugés trop mauvais pour pouvoir envisager de nouvelles mesures de déconfinement lors du Comité de concertation de ce vendredi. Qu’en est-il des métiers de contact (hors coiffeurs), qui sont censés reprendre leur activité ce 1er mars ?
Il y a trop d’hospitalisations, le Comité de concertation prend acte des dernières données fournies par le commissariat corona et suspend toute décision. Tous, à commencer par le Premier ministre, disent craindre une « troisième vague » épidémique.
Moins de 5 % des doses livrées à la Belgique ont été administrées. En cause ? Les débuts difficiles des centres de vaccination et la mauvaise image du vaccin.
Alexander De Croo appelle à la prudence à cause de certains indicateurs de la pandémie qui sont repartis à la hausse. Le gouvernement se laisse une semaine pour réévaluer la situation.
Lors du Comité de concertation de ce vendredi, les derniers chiffres relatifs aux hospitalisations ont été jugés trop mauvais pour pouvoir envisager de nouvelles mesures de déconfinement. Voici ce que disent les chiffres.
« Je n’ai plus envie de regarder en arrière, une guerre nous attend » déclare David Van Reybrouck. L’écrivain couronné de « Congo » et aujourd’hui de « Revolusi » a décidé de ne plus écrire de livres dans les années qui viennent pour se consacrer à une cause : la lutte pour le climat. « Le moment est venu de donner, de s’engager. »
Alexander De Croo appelle à la prudence en raison des chiffres de contamination et hospitalisation, qui sont repartis à la hausse. Le gouvernement se laisse une semaine pour réévaluer la situation.
Le Comité de concertation s’est réuni ce vendredi après-midi pour discuter d’éventuels assouplissements ainsi que pour l’élaboration d’une stratégie de déconfinement.
Près d’un an après la déclaration de l’état de pandémie, qui a mené à des restrictions de liberté importantes dans un but sanitaire, les centres de planning familial font le point. Leur crainte d’une diminution des avortements ne semble pas s’être réalisée mais d’autres urgences, essentiellement psychologiques, font surface.
À l’arrêt depuis plusieurs mois les chauffeurs des sociétés d’autocars privées sont venus prêter mains fortes sur les lignes de bus. Un renfort apprécié des deux côtés de la ligne.
On pourrait croire la tâche facile, mais dire non est un acte complexe. Marie-Laurence de Bellefroid, psychothérapeute, nous explique pourquoi il est nécessaire d’oser lâcher ces trois petites lettres.
L’État belge s’est à nouveau présenté devant la cour d’appel de Bruxelles pour demander de pouvoir reprendre les plaidoiries sur cette question de la résolution de l’accord-cadre de 1995.
La réunion devrait se dérouler dans un contexte tendu entre les tenants d’assouplissements plus importants des mesures sanitaires et les partisans du maintien d’une ligne dure.