L’ogre Rafa à Roland-Garros, le petit Poucet Nadal à Bercy : en un peu plus de quatre mois, la transformation est aussi étonnante qu’une journée sans voiture sur le périphérique. Paris en été, ou Paname en automne, ça n’a pas du tout la même saveur pour l’Espagnol. Pourtant, ici, c’est peut-être l’année ou jamais de corriger un tant soit peu le tir pour un joueur qui redeviendra, quoi qu’il arrive, le nº1 mondial après cette semaine parisienne !