Je reviendrai demander la confiance du Parlement au plus tard dans six mois. […] L’objectif, à terme, doit rester de former un gouvernement fédéral qui dispose d’une majorité parlementaire autour d’un projet global et positif pour notre pays. » Cette promesse de Sophie Wilmès date du 17 mars. Elle était l’une des pierres angulaires du discours qui lui a permis d’obtenir la confiance des parlementaires et de devenir Première ministre d’un gouvernement ultra-minoritaire (MR, Open VLD, CD&V) de plein exercice.
Cinq mois plus tard, avec la démission du duo des préformateurs Paul Magnette (PS) et Bart De Wever (N-VA) – tenue en suspens par le Roi –, il semble toujours aussi compliqué de trouver cette fameuse majorité. Et encore moins d’ici au 17 septembre…
Alors quoi ?
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