Une bombe qui a explosé au visage de Jan Jambon ». « Jambon mis sous pression ». « Son cabinet était au courant ! » « Le ministre-président a-t-il menti ? » Toute la presse du nord pays titrait jeudi en une sur l’affaire Chovanec et plus particulièrement sur le rôle qu’a joué Jan Jambon (N-VA), ou plutôt sur son inaction. Celui qui était ministre de l’Intérieur, à l’époque des faits en 2018, se retrouve au cœur d’une tempête médiatique qu’il a provoquée lui-même.