L’impossibilité à contrôler au cas par cas le quota des rassemblements, comme c’était par exemple le cas sur le port de La Rochelle, bondé, ou à l’arrivée de Poitiers ne semble pas inquiéter les organisateurs, puisque les virologues sont pour le coup assez unanimes : à la vitesse à laquelle évoluent les coureurs, il est pratiquement impossible pour eux de choper l’affaire. Et puisque, entre eux, ils sont tous négatifs, on peut désormais parler d’un « peloton-bulle » de 160 unités depuis l’abandon d’Ilnur Zakarin.