« Je ne vais pas vous le cacher : les larmes ont coulé quand j’ai regagné le vestiaire, et je n’étais pas le seul dans l’équipe. Malheureusement, on n’est pas entré dans cette partie comme on l’aurait souhaité. On a laissé trop de liberté à notre adversaire et on a été trop gentil dans les duels. Pourtant, on savait que c’est justement sur ce point qu’on devait exceller pour dominer cette équipe de Poznan qui, on le savait, est dotée de bonnes qualités techniques, joue pas mal au ballon et crée beaucoup de mouvements. »