Entretien
Le ressentiment gagne du terrain et, selon Cynthia Fleury, nous allons entrer dans une grande phase d’instrumentalisation de cette pulsion. Un phénomène périlleux mais que l’on peut surmonter, en le sublimant, comme elle l’explique dans son dernier essai, Ci-gît l’amer.
Vous faites la part des choses entre la souffrance réelle et le ressentiment. Le ressentiment, c’est une souffrance ruminée ? Ou un « sentiment de souffrance » ?