L’accord de la Vivaldi semble contaminé par « le syndrome de 2003 » ? A l’époque, on y avait décidé la sortie du nucléaire « sauf si… ». Cette fois, d’autres intentions sont exprimées mais soumises à un tas de conditions : les effets socio-économiques néfastes, la position concurrentielle, la concertation avec les acteurs industriels ou agricoles, une disponibilité suffisante de véhicules, l’analyse de cycles de vie…
Autant de portes dérobées qui permettront finalement de mettre l’environnement, le climat et le développement durable de côté ?
On peut le penser, mais je ne le lis pas comme cela.