Ce vendredi matin, en apprenant que les événements culturels seraient maintenus tout en passant à une jauge maximale de 200 spectateurs (sans dérogation possible), avec 1,50 mètre de distance entre les bulles, le secteur théâtral oscillait entre soulagement et inquiétude. Soulagement au TTO, par exemple, où le directeur, Albert Maizel, se dit heureux de pouvoir encore offrir aux personnes qui le désirent la possibilité de se distraire. Au Théâtre du Parc aussi, Thierry Debroux estime qu’il est essentiel de maintenir la culture :