L’ULB a sondé les électeurs à la sortie des urnes le 26 mai. On découvre que les jeunes ont privilégié les partis traditionnels, que le PS cartonne chez les moins diplômés et que deux tiers des votants sont « fidèles » à leur parti.
Alors que les négociations et tractations se poursuivent pour l’attribution des « top-jobs » européens, les chefs d’État ou de gouvernement se réunissent ce jeudi soir à Bruxelles pour un sommet européen.
Le PPE conserverait la présidence de la Commission, mais pas pour Manfred Weber. Charles Michel y serait le favori pour prendre la succession de Tusk. Mais un rien peut bousculer ce scénario…
Après que l’ex-président catalan et son ex-ministre se sont vus refuser leur accréditation provisoire, la mesure a été étendue à tous les eurodéputés espagnols.
Exilés à Bruxelles mais élus eurodéputés en Espagne avec plus d’un million de voix, l’ex-président catalan et son ex-ministre se sont vus refuser l’accréditation provisoire accordée à tous les autres nouveaux élus.
Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE étaient réunis mardi soir à Bruxelles pour évoquer le processus de nomination des futurs présidents de la Commission et du Conseil.
L’Allemand est le candidat du PPE à la présidence de la Commission européenne. Son parti est arrivé en tête des élections européennes. Mais ses futurs coalisés espèrent lui barrer la route. Les 28 se réunissent à Bruxelles ce mardi.
Les grands partis dominant traditionnellement le Parlement européen ont subi des pertes importantes lors du scrutin dimanche mais la poussée populiste de droite a été limitée. De nombreuses interrogations subsistent.
Les électeurs ont durement sanctionné le Parti conservateur de la Première ministre Theresa May, qui a déploré des résultats « très décevants ». Le Parti du Brexit est le grand vainqueur des européennes avec 31,6%, selon les résultats définitifs.
Sur l’ensemble de l’Union européenne, la participation s’est élevée à 50,93 %, au plus haut depuis les années ’90, alors qu’elle était tombée en 2014 à son plus bas (42,61 %).
Son parti conservateur aux élections européennes a été relégué à la cinquième place avec près de 9 % des voix, loin derrière le Parti du Brexit de l’europhobe Nigel Farage (environ 32 %).
Selon des projections actualisées dans la nuit de dimanche à lundi du Parlement européen, le Parti populaire européen (PPE, droite pro-européenne) reste, avec 179 sièges, contre 216 actuellement, la première force de l’hémicycle.
La droite modérée et les sociaux-démocrates ont perdu leur domination sur le Parlement européen. Mais les nationalistes et populistes n’ont pas atteint les chiffres nécessaires pour bloquer l’assemblée.
Selon les premières indications, la liste Renaissance (LREM et MoDem) emmenée par l’ancienne ministre Nathalie Loiseau arriverait derrière celle conduite par le jeune Jordan Bardella pour le Rassemblement national.