Alea jacta est ! Après deux semaines et demie de tergiversations, d’interprétations (souvent erronées) de textes et de déclarations, de recours devant le Conseil d’État, de non-prononciation de celui-ci sur le fond du problème, de frictions entre agents immobiliers eux-mêmes (pour simplifier, entre ceux qui travaillent pour des grands réseaux et ceux qui agissent pour leur compte propre), le sort en est jeté : les visites immobilières sont « autorisées », du moins sous certaines conditions.