Des revenus insuffisants tirés du click & collect (et de l’e-commerce en général), des plateformes en ligne étrangères siphonnant les achats en ligne du pays, des Etats voisins accueillant les consommateurs belges dans leurs magasins et, surtout, le poids très conséquent de décembre et de ses fêtes dans le chiffre annuel du secteur déjà très mal en point… Les associations de commerçants avaient redoublé d’arguments pour mettre une pression d’enfer sur les membres du Comité de concertation. Et ils ont obtenu gain de cause, puisque les commerces dits « non essentiels » pourront donc rouvrir dès ce mardi 1er décembre.