L’Université libre de Bruxelles intensifie sa lutte contre les situations de harcèlement. Une cellule « harcèlement » vient en effet de voir le jour. « Cash-e » se veut un tout nouveau lieu d’écoute, d’information et de prise en charge destiné à tous les étudiants. Qu’ils soient victimes de harcèlement moral ou sexuel, d’intimidation ou de pressions psychologiques. « Ce qui fait la particularité de cette cellule », souligne Alain Levêque, vice-recteur aux affaires étudiantes, « c’est d’être totalement indépendante vis-à-vis des autorités académiques. »