Ils ont fait le covid il y a plusieurs semaines, parfois plusieurs longs mois, et ne s’en remettent toujours pas. D’après une projection du chercheur Martijn Spruit (UHasselt), ces patients longue durée qui n’ont pas nécessairement développé une forme grave représenteraient 10 % des malades. Une étude de l’université d’Anvers fait monter le chiffre à 20 %. Les femmes jeunes seraient aussi plus touchées que les hommes par la persistance de la maladie, tandis que les enfants et adolescents sont aussi concernés par ce covid long, a montré une étude suédoise.