Paul Magnette, le bourgmestre de Charleroi, était particulièrement soulagé de pouvoir enfin dévoiler le début des travaux de la ville haute, la deuxième phase de la transformation de la principale cité de Wallonie. « Une société non-retenue pour le marché public avait introduit un recours devant le conseil d’état mais elle a été déboutée et nous pouvons donc enfin lancer la rénovation de la ville haute dès le mois de février », a débuté le bourgmestre carolo et président du PS. Coût des travaux : 43 millions, subsidiés totalement par les fonds européens FEDER. De ces 43 millions, 10 millions proviennent de la réaffectation de l’argent prévu pour l’érection d’un palais des Congrès, projet abandonné.