ENTRETIEN
Pendant près de deux ans, le jeune journaliste français Valentin Gendrot a infiltré la police. Il y a découvert un racisme banalisé et une violence qui passe sous les radars.
Dans votre livre, paru en septembre, vous décriviez déjà la violence et le racisme dans la police. Qu’avez-vous vu, lorsque vous étiez contractuel dans un commissariat du 19e arrondissement de Paris, un quartier populaire ?