Entre la Saint-Nicolas et le 72e anniversaire, jeudi, de l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme, l’UE s’est offert lundi un nouvel arsenal répressif. Dans le collimateur de cet instrument à la disposition du « soft power » européen adopté par les ministres européens des Affaires étrangères réunis à Bruxelles : les responsables de « violations sérieuses » des droits humains fondamentaux, « ou impliqués dans de tels actes, partout dans le monde ». « C’est une bonne nouvelle. Cela va nous permettre d’agir », a promis le chef de la diplomatie de l’UE Borrell.