La ministre francophone de l’Education, Caroline Désir (PS), le dit haut et fort depuis plusieurs semaines : « l’école peut être victime de l’épidémie quand elle s’accélère, mais qu’elle n’en est pas le moteur ».
Raison pour laquelle, sauf changement de tendance catastrophique d’ici là, la rentrée aura bien lieu comme prévu le 4 janvier, que ce soit en Flandre ou en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Mais si changement de tendance catastrophique il devait y avoir ? Les experts ont envisagé cette hypothèse : « La prolongation des vacances de Noël peut devoir être envisagée dans un plan d’escalade si la situation s’aggrave au cours de la semaine à venir, ceci en dernier recours », lit-on dans le rapport qu’examineront ce vendredi les membres du comité de concertation.