Raconter les tribulations d’une âme permet d’échapper à l’excès de réalisme et, comme on aime le faire chez Pixar, de s’aventurer dans la fantaisie. Avec Soul, ce fut fait au départ d’un concept tout simple : une âme qui ne veut pas naître et vivre, le petit 22, rencontre une âme qui a déjà vécu, le pianiste de jazz Joe Gardner, et qui considère que ça en vaut la peine.