La mise à l’arrêt d’une partie de l’économie, une première fois au printemps, puis encore cet automne, a contraint de nombreuses entreprises et indépendants à suspendre ou réduire sensiblement leur activité – avec, pour conséquence, une réduction ou une cessation temporaire des rentrées financières.
Seulement voilà : même si le volet est baissé, un tas de factures doivent être honorées, qu’il s’agisse du loyer (commercial), du remboursement d’un emprunt ou de la rémunération des salariés.
S’ensuivent logiquement des problèmes de trésorerie, comme disent les économistes et les comptables – par quoi il faut entendre que les liquidités disponibles ne permettent pas de rencontrer les obligations à court terme.