Tandis que le monde luttait contre la pandémie, Jean-François Charles se battait contre les moulins de l’imaginaire, brossant des toiles de Don Quichotte, en quête d’ombres mystérieuses, du mouvement des arbres, de lumières apaisées. Son œil battait la campagne comme celui de Claude Monet, impatient de voir, de toucher les éléments, de comprendre comment un arbre prend et renvoie la lumière avant de le peindre. L’artiste publie un artbook de paix et de lumière où les aquarelles, les pastels et les acryliques touchent à la sérénité.