S’il a plutôt bien géré la période de fortes turbulences dues à la crise sanitaire, en proposant une saison d’une dizaine de semaines où la majorité des épreuves reprogrammées a pu se dérouler dans des conditions sécurisantes, le cyclisme a lui aussi, forcément, été rudement secoué par la pandémie. La bulle quasi hermétique dans laquelle s’est engouffré le peloton, pour échapper au virus, n’a pas pu totalement s’opposer aux incertitudes du lendemain. Ce « monde d’après », à construire sur des bases différentes.