Arrivé au Canonnier avec une étiquette confirmée de joueur « bling-bling », qui n’hésite par exemple pas à partager des photos de lui devant des voitures de luxe sur les réseaux sociaux, Imad Faraj s’était aussi fait remarquer durant l’été après avoir tenu des ambitions quelque peu démesurées… « Nous pouvons être dans le top cinq », avait-il déclaré, dix jours avant le début du championnat. Une déclaration qui n’avait pas été au goût de Fernando Da Cruz ; l’entraîneur alors en place au Canonnier en début de saison l’avait recadré en lui demandant de garder les pieds sur terre.