Emmanuel Macron aime décidément les héritages et les calendriers. Il avait déjà célébré de Gaulle et Pompidou, le premier lors du cinquantenaire de sa mort, le second, pour les cinquante ans de son accession au pouvoir. Il avait déjà fait l’éloge de ses prédécesseurs disparus, rendant hommage l’an dernier à Jacques Chirac avant de saluer en décembre la mémoire de Valéry Giscard d’Estaing. Mais comment sont les commentateurs politiques français, quand même : ils ont même vu, ces farceurs, dans le dernier discours présidentiel de la Saint-Sylvestre prononcé près d’un feu de cheminée, un clin d’œil aux causeries de VGE. La première dame, contrairement à Anne-Aymone à l’époque, n’était pourtant pas dans l’image…