« C’est surréaliste ! » Le président du Brussels, André De Kandelaer, a beau rappeler que seule « la santé prime et que le basket a la chance d’exister alors que les coiffeurs sont fermés », il confie surtout se réjouir à la perspective… de la saison prochaine. La présente ne fait pourtant que réellement commencer. Après deux mois à la carte puisque les clubs de D1 avaient la latitude de ne pas jouer à domicile, voire pas du tout avant janvier, ce week-end était le premier impliquant les dix équipes. Mais l’espoir d’accueillir du public semble s’être évaporé en même temps que les illusions de sauver un autre enjeu qu’existentiel.