Selon un communiqué publié mardi, le groupe a écoulé 2,9 millions d'unités, sur un marché mondial en repli de 14,2%.
La baisse des ventes du groupe est "principalement due à sa forte exposition dans les pays ayant subi un confinement strict et la suspension de leurs activités commerciales au deuxième trimestre, ainsi qu'un ralentissement au quatrième trimestre, notamment en France", précise-t-il.
En Europe, les ventes ont reculé de 25,8% à 1,4 million d'unités.
"Le deuxième semestre fait état d'une meilleure résilience et d'une bonne performance sur les marchés électrique et hybride", a assuré le directeur commercial Denis le Vot. Le groupe affichait fin décembre un niveau de commandes supérieur de 14% à celui de 2019 en Europe et un niveau de stock en baisse de 20%, a-t-il souligné.
"Nous privilégions désormais la profitabilité aux volumes de ventes, avec une marge unitaire nette par véhicule plus élevée, et ce sur chacun de nos marchés", a déclaré le directeur général Luca de Meo.