Baisse de 35% des recrutements et de 10% des postes vacants, l'épidémie de coronavirus "semble avoir paralysé le marché du travail", relève Group S dans un communiqué.
Les métiers en pénurie, comme dans l'informatique, restent difficiles à pourvoir. Une hypothèse avancée par Julie de Fays, consultante en ressources humaines auprès du secrétariat social, est que "les travailleurs en poste semblent moins décidés à quitter leur emploi actuel, recherchant probablement la sécurité. Certains postes vacants (notamment ceux qui exigent de l'expérience) restent donc beaucoup plus longtemps ouverts que d'habitude".