Deux amis – un photographe, un sculpteur – sont partis explorer la capitale cubaine ensemble, le premier pour répertorier par l’image ses symboles architecturaux, le second sans but précis, découvrant au fur et à mesure du périple la nécessité de rendre compte de cette expérience en façonnant à son tour des œuvres – en trois dimensions – pour saisir quelque chose de la décrépitude flamboyante à l’œuvre. Voici l’histoire qui se cache derrière la nouvelle exposition visible chez Francesco Rossi, dont le titre évoque à lui seul un autre symbole de Cuba : le légendaire boléro composé par Osvaldo Farrés en 1947.