Fermer les frontières pour arrêter la propagation du coronavirus et de ses variantes doit être le dernier moyen de sauvetage, a affirmé mercredi la ministre de l’Intérieur Annelies Verlinden. « Nous avons d’autres mesures aujourd’hui, telles que les tests et la quarantaine », a déclaré la ministre, interrogée au cours du Journal Télévisé de la VRT.
« La fermeture des frontières comporte un certain nombre d’inconvénients importants », a détaillé la ministre, évoquant les personnes qui vivent et travaillent des deux côtés de la frontière, ou les personnes qui exercent la co-parentalité de part et d’autre.
« Dans le contexte européen, nous avons convenu de ne pas le faire unilatéralement. Nous devrons examiner cela, mais ce n’est pas la voie privilégiée », a ajouté la ministre.