Pour maîtriser le risque pandémique actuel, il est préférable d’agir sur les voyages non-essentiels, estime le biostatisticien Geert Molenberghs (KU Leuven/UHasselt) au lendemain de la réunion du GEMS vendredi soir.
« Il y une préoccupation auprès des experts, mais on ne peut certainement pas parler de panique », selon M. Molenberghs. Le nombre de nouvelles contaminations a diminué ces derniers jours et le nombre d’hospitalisations et de décès continue à baisser.
Pour continuer à faire reculer le nombre de contaminations, les voyages non-essentiels, tels que les citytrips ou les vacances plus longues, devraient être évités autant que possible, selon le scientifique.