Christelle Carion, la tenancière d’un café à Pepinster, a décidé de ne plus quitter son établissement et d’y loger pour protester contre les règles covid en vigueur.
Avec ce geste hautement symbolique, la commerçante veut faire prendre conscience aux dirigeants des difficultés rencontrées par les indépendants des secteurs encore à l’arrêt à cause de la pandémie.
« Lors du premier confinement, j’ai obtenu l’aide de 5.000 euros ainsi que le droit passerelle. Pour ce deuxième confinement, l’aide a été revue à la baisse et s’élève à 3.000 euros. Je bénéficie également du double droit passerelle mais pour ce dernier, les montants sont bruts. En pratique, ces aides ne couvrent pas mes frais », détaille la tenancière du café ’Amon nos autes’, situé à Pepinster.