Depuis quelques jours, c’est un flot glaçant qui déferle sur Twitter.
« J’avais 8 ans, j’ai été abusée par mon oncle. Mon père ne l’a jamais su. A son décès, j’ai porté plainte. Mon oncle, toujours en vie, vit sa meilleure vie. » « J’avais 15 ans. Comment un père peut-il faire ça à sa propre fille ? L’effet boomerang n’est arrivé qu’à mes 50 ans, j’en ai 59. Délai de prescription = trop tard. Ma condamnation = traumatisée à perpétuité, état suicidaire récurrent. » « J’avais 9 ans, ça a duré 2 ans, il était directeur de centre aéré. Il travaille toujours à la mairie de Paris. »