La séquence actuelle autour des chiffres du covid a un (désagréable) parfum de déjà-vu. Il y a d’une part le retour en force d’experts taxés de rassuristes, qui ont une fâcheuse tendance à toujours trouver une façon de faire dire aux chiffres que tout va bien. Et d’autre part, il y a la montée en puissance des alarmistes, ceux qui sautent sur la moindre donnée qui fait un peu peur pour hurler à la troisième vague. Le clivage entre ces deux « clans » semble de plus en plus marqué.
Au milieu, il existe pourtant la nuance. Car les chiffres ne sont ni totalement catastrophiques, ni profondément réjouissants. Le Soir vous propose donc un mix des bonnes et moins bonnes nouvelles, à la lecture du bilan épidémiologique publié par Sciensano ce 20 janvier.
Trois raisons de sourire
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