Entretien
Lorsqu’il est désigné, le 1er octobre, secrétaire d’Etat à la Digitalisation, la Simplification administrative, la Protection de la vie privée et la Régie des bâtiments, Mathieu Michel ne connaît pas une installation en douceur. Plus d’un libéral accepte mal cette désignation d’un « Michel », alors que d’autres candidats étaient cités ; c’est la bronca. Et lorsqu’il présente sa note de politique générale au Parlement, c’est son niveau de néerlandais qui est critiqué. Qu’en est-il quatre mois plus tard ?
Comment vous sentez-vous dans vos nouvelles fonctions, après vos débuts chahutés ?