En approchant de l’entrée de Bozar située du côté de la rue Royale, c’est l’odeur de brûlé qui frappe en premier. Une odeur âcre qui flotte dans l’air frais de ce vendredi ensoleillé où quelques journalistes se retrouvent pour une visite des lieux. Quatre jours après l’incendie survenu lundi soir, on peut à présent découvrir l’étendue des dégâts.