Une réouverture le 13 février « au plus tôt », « à condition que la situation épidémiologique continue d’évoluer positivement » : les fameuses perspectives tant attendues par celles et ceux qui exercent des métiers de contact ne sont pas du goût de tous leurs représentants. Si le SNI salue « une lueur d’espoir après une période très sombre », l’Union des coiffeurs se montre beaucoup plus mitigée. Car le doute réside dans la condition émise sur le plan sanitaire, dont rien ne permet de garantir qu’elle permettra effectivement une reprise des activités.