Décrochage… D’un bout à l’autre du paysage de l’enseignement supérieur, le mot s’est imposé comme « l’expression phare » de la présente année académique. En octobre, la Fédération des étudiants francophones pointait déjà le phénomène au terme d’une rapide enquête parmi ses affiliés. Une autre étude confirme désormais ce sentiment délétère et atteste de son lien étroit avec l’enseignement à distance. Le Soir a pu consulter une enquête de proximité réalisée il y a quelques semaines par le Bureau des étudiants de la faculté Espo (Sciences Économiques, Sociales, Politiques et de Communication), la plus grosse faculté de l’UCLouvain.