En excluant tarif et quota, l’accord de Brexit conclu la veille de Noël limite la casse pour l’économie britannique mais la sortie de l’Union vient tout de même restreindre l’accès du Royaume-Uni à son premier partenaire commercial (52 % des importations et 43 % des exportations britanniques en 2019). Le pays est aussi l’une des grandes économies les plus touchées par les conséquences du coronavirus selon l’OCDE, et devra donc faire face aux dégâts causés par la crise sanitaire. Malgré ce double challenge, le Premier ministre Boris Johnson entend toujours accomplir son désir de Global Britain