Un énième rebondissement survient ce mercredi dans l’affaire Grégory. Selon le procureur général de Dijon et Marie-Christine Chastant-Morand, l’avocate des parents du petit garçon dont le corps sans vie a été retrouvé pieds et mains liés dans la Vologne le soir du 16 octobre 1984, la chambre de l’instruction de Dijon a accepté cinq des six demandes de la famille, dont celles portant sur de nouvelles analyses ADN. Ces prélèvements seront pratiqués sur 37 nouvelles personnes de l’entourage des Villemin.