En cette période particulière où la compétition ne fleurit que dans le Gard en même temps que les premiers mimosas, les équipes sont contraintes de laisser 75% de leur effectif à l’entraînement. Pour des formations au calibre d’Ineos, 40 millions d’euros de budget et donc le double de la plupart de ses concurrentes, la pandémie est sans doute moins anxiogène. Elle permet en tout cas à son manager Dave Brailsford d’aligner ses agendas jusqu’à la fin de la saison en disposant d’effectifs à faire pâlir d’envie l’opposition.