Si la crise sanitaire était un western, Fabrice Bureau et Laurent Gillet, porteraient sûrement l’étoile des shérifs. Ils traqueraient sans relâche le coronavirus. Un ennemi bien plus malin que les Dalton, capable d’échapper à la vigilance de tous et même de muter quand il semble être sur le point d’être éradiqué grâce au vaccin. Pour nous défendre, le vice-recteur à la recherche de l’Université de Liège et son vice-doyen n’ont pas eu besoin de sortir le revolver. Ils ont plutôt misé sur leur inventivité et leurs connaissances en médecine vétérinaire.