L’attaque est frontale contre « une manière américaine de faire des affaires, qui privilégie la rémunération des actionnaires à court terme (au détriment de l’investissement en capital à long terme), la désindustrialisation et une vision abstraite et radicale du libre-échange ».
Mais qui donc est à l’offensive ? Ne cherchez pas du côté de la gauche américaine ou des « altermondialistes », ni un lien avec la saga GameStop.
C’est le Pentagone – l’armée américaine, donc – qui mène la charge, identifiant, dans un rapport remis le mois passé au Congrès, le capitalisme financiarisé comme l’un des plus grands risques pour la sécurité nationale des Etats-Unis.