Ce mardi à 8 heures, quand les administrateurs de la SNCB se réuniront en séance « extraordinaire » (ce qui veut simplement dire qu’elle a été ajoutée à l’agenda ordinaire) pour réexaminer le dossier de fermeture de 44 guichets (sur 135, soit un tiers) dans différentes gares, les syndicats et les associations de voyageurs manifesteront leur désapprobation dans la rue. Ils devraient apprendre assez rapidement qu’un accord a été trouvé entre les partis, la SNCB et le ministre Georges Gilkinet (Ecolo) afin que ce dernier puisse, entend-on, « sauver la face »…