En parallèle, une journée d'actions est organisée vendredi dans plusieurs entreprises du pays par le front commun syndical. Les syndicats estiment qu'une marge salariale de 0,4% pour les deux prochaines années revient à "se moquer des travailleurs". Cette journée d'actions pourra prendre la forme d'arrêts de travail ou de réunions du personnel par exemple, avait précisé la FGTB.
Les syndicats revendiquent notamment une marge salariale indicative, un salaire minimum à 14 euros de l'heure ou 2.300 euros par mois, ainsi qu'une amélioration des régimes de fin de carrière. Les représentants veulent également que la liaison du montant des allocations sociales à l'évolution des salaires (l'enveloppe Bien-être) soit négociée indépendamment de l'accord interprofessionnel.