Entretien
Tout semble se passer comme si une sorte de bombe à retardement avait été placée en dessous du plan de relance, avec des effets collatéraux à redouter pour le Pacte d’excellence lui-même »… Les mots sont forts, mais soigneusement choisis. Ils sont signés Étienne Michel, directeur général du Secrétariat général de l’enseignement catholique. Ils disent le désarroi de son réseau face aux choix actuels du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour la rénovation des bâtiments scolaires.