Yves Coppieters, dans une interview donnée à nos confrères de 7sur7, estime qu’il est temps d’envisager certains assouplissements : « Toute réouverture de tout secteur peut être un élément pour faire remonter les chiffres. Mais un an après l’éclatement de l’épidémie, on ne peut plus se permettre de ne pas prendre ce risque-là, estime l’épidémiologiste. La situation devient intenable sur le plan social, économique, etc. Si les coiffeurs respectent le protocole tel qu’il est défini (masque, ventilation…) et que des contrôles sont opérés pour s’assurer que cela est bien appliqué, je ne pense pas que le profil de l’épidémie va radicalement changer. »