Récemment, l’un de mes correspondants m’interrogeait sur la construction pallier à, snobée par les 272 billets déjà parus de cette chronique. Mérite-t-elle la conduite de Grenoble dont l’accablent les puristes ? N’écoutant que mon inconscience, je me suis laissé convaincre de descendre dans la fosse aux lions.
Après avoir conforté les francophones qui prétendent aller au coiffeur en vélo, franchissons donc un nouveau palier. Dans la joie et la bonne humeur : un chroniqueur triste est un triste chroniqueur.