Malgré le masque qu’il ne fait pas tomber durant l’interview effectuée au troisième étage d’un Bosuil recouvert de neige, Felipe Avenatti semble libéré. Presque délivré, même, après avoir « vécu la période la plus difficile de ma carrière », comme il le dit lui-même. S’il n’a pas encore fait trembler les filets à Anvers, où le Standard l’a prêté avec option d’achat tout en prenant en charge une grosse partie de son salaire, l’attaquant uruguayen s’estime toutefois sur le bon chemin. Après avoir effectué son chemin de croix à l’ombre des terrils liégeois, on ne va pas encore parler de résurrection dans son chef. Ni de miracle, d’ailleurs. Juste d’une éclaircie qui demande confirmation dans les semaines et mois à venir.